Volume 1
01- Karma
02- En vers...
03- Reconnaissance
04- Ça sonne faux !
05- Le cœur n'a qu'une couleur
06- "On"
07- Un sourire
08- Quand...
09- On veut, on peut !
10- Confidence pour confidence
11- À jamais (Introduction)
12- À jamais
13- La ferme !
14- Noctambule
15- Gore
16- Ma solitude me manque
01:15
03:38
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01:02
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02:59
03:31
Volume 2
01- Ca y est !
02- Je dis
03- Cyber espace
04- Ma porcherie
05- Flash special
06- GDC
07- Une vie sans toi(t)
08- Tom
09- (...)
10- Il a raison
11- Regrets
12- Le loup (Le retour)
13- Le mal par le Mâle
14- Mic
15- Qu'est ce qu'on dit ?
16- Merci
01:15
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02:59

01- Karma

Lorsque je m’énerve, je ne trouve le calme qu’à travers mes vers
Traverse la mer de mes tourments à la rame en solitaire
C’est salutaire, surtout lorsque je suis seul à terre.
Mes peines elles, altèrent mon état mental donc comment me taire
Le papier quant à lui est mon allier car il m’aide par palier
A aller mieux jours après jours et ça, je ne peux pas le nier
Mes écrits s’entendent à merveille avec lui, s’y sentent bien accueillis
Car les deux réunis n’ont pas de pareil, retranscrivent ce que je vis
De la meilleure manière… et c’est ici ce que je décris.
Je n’ai que pour seule arme,
Mon micro et mes vers et je m’évertue à faire en sorte
Que mes mots me créent une ouverture dans cet univers
Où parait-il  que pour cacher un truc à un noir, faut le mettre dans un livre
Moi, c’est plein d’espoir que je les ouvre… et ce que j’y découvre je vous le livre !

02- En vers...

Koshon… Dj Mel –A
En vers et contre tous !
Je n'ai que pour seule arme mon micro et mes vers
Je m’évertue à faire en sorte que mes mots me créent une ouverture
Dans cet Univers ou seules les guerres ont droit de cité
Exempté, j’ai fuit l’armée mais pas les larmes pour la Paix !
L’appel est unanime, mais la haine anime l’homme
L’âme corrompue par l’ultime conviction pour les armes
Et tous ces maux, M.A.U.X qu’on défini avec des mots
Contre la P.A.I.X manipulée par le démon
Aidez-moi à faire en sorte que les choses changent
Avec quelques idées sur du papier à l’aide d’un crayon
Et croyez en la force des écrits,
Surtout quand en la Bible et le Coran vous vous dites croyants !
Craignez le tout puissant en puisant dans ce qui vous y pousse
Moi, j'ai choisi la plume en vers et contre eux tous
Tous ces mots soi disant utile pour communiquer
Deviennent futile attiré par le crime, préférant tirer !

Refrain :
On a créé des mots divers pour definir nos peines
On peine à les mettre en forme pour évacuer la haine
Qui sommeille nous, c’est elle qui nous y pousse
Alors qu’on pourrait le faire en vers et contre eux tous !

Eux, c’est qui ?
Ceux qui nous gouvernent, mensonges et balivernes
Nous énervent à nous prendre pour des cons à chaque manœuvre
On est des pions !
Dieu créa l’homme et lui les armes
Et par le plus grand des hasards la misère les a !
Lésés de toutes richesses par les pays occidentaux
Afrique, berceaux de l’humanité, aucun droit de véto
Voter ne signifie plus rien, la dictature s’est invitée
Le mot Démocratie, l’homme l’a inventé !
Il y a aussi ce concept qu’on appelle la Paix
Mais le pouvoir a trop soif, donc lui manque de respect
Rester les bras croisés face à la misère mondiale
Ça, les US savent le faire ne bougent que pour le pétrole
Normal, sachant l’homme a inventé le mot Capital
Donc pour se le constituer, peut se montrer bestial !
C’est ce genre de mot… que j’ai du mal à concevoir
Mais l’homme l’aime et l’approuve, au risque de décevoir !
J’aspire à un monde meilleur
Rendre meilleur cet univers
Avec des vers venus d’ici et d’ailleurs
D’ailleurs, j’invite tous les rêveurs
J’ai bien dit tous à rejoindre ma cause
En vers et contre tous !

Refrain

Martin Luther avait un rêve
En vers et contre tous
Malcom X Militant
En vers et contre tous
Aimé Césaire la négritude
En vers et contre tous
Alex HALEY  « Racines »
Kofi ANNAN à l’ONU
Marcus GARVEY et l’esclavage
Desmond Tutu et l’apartheid
Nelson MANDELA

03- Reconnaissance

On m’a dit pour y arriver, bah… fallait que je fasse un hit
Alors vite, j’ai pris ma plume, la MPC a fait le beat (Boum )
Pas de bide à l’horizon
Je compte m’installer un peu comme les saisons
Donner  raison à ceux qui ont tort
Je joue de l’auto dérision
Combien de fois ais je entendu dire : « Ton blaz pue la défaite »
C’est clair que c’est pas grâce à ça que ma réputation s’est faite
C’est un fait mais… Pff , cours dire à tes potos que tu connais le « Koshon » le plus Hallal
Je suis Musulman, hé ouais Gros !
C’est pour les Notorious…  et toutes les Beetlejuice
Qui ont tellement bavé  sur mon dos
Qu’est ce que c’est naze mais je les aime tous ! ( bruit du bisou )
Car comme on dit : « ce qui ne te tue pas te rend plus fort »
Et vu le nombre de tentative, je suis encore là, c’est qu’ils sont forts hein !
Le talent peu de gens connaissent son apparence
A ce qui parait celui qui vous Hait vous envie, moi, je le pense
« L’Amour rend aveugle » à ce dicton je fais référence
C’est pour ça que face aux médisants…  toujours aussi transparent !
 
Refrain :
 
Moi je veux pas être connu mais juste reconnu reconnait
Que ça t’étonne que dans ce milieu je sois vu inconnu
C’est bien connu seul le temps efface les déconvenues
Connu ou inconnu ce qui compte c’est que le talent soit reconnu !
  
C’est formel, ceux qui prédisaient la défaite sont informés
Je viens m’installer, j’ai pris perpette donc veuillez la fermer !
Ma fortune, c’est le poids de mes mots
Même l’enclume fuit ma plume
Admets que ma verve est peu commune !
Un peu comme le troisième effet Kiss cool
Parfois casse couille ou casse cou
Je casse tout ( blahh ) évitons les embrouilles !
Des comme vous j’en ai connu des millions
A trop se prendre pour des lions
Et au final… ça fini tout mignons (miaulement)
Ce que j’ai en moi est géant donc ne me pousse pas
Petit poucet, retrouve tes pas, c’est à dire loin derrière moi !
Si derrière toi, y a plus personne…
C’est que t’es le maillon faible donc peu fiable
Je comprends que tu pètes un câble !
On peut copier l’original Papy
Mais y a rien d’original dans une copie
Ne l’as-tu pas compris ?
Je suis comme le 5é élément nommé koshon plus communément
Normal que mon flow t’attire un peu comme un aimant !
 
Refrain
 
Maintenant que t’as compris la leçon et que le son t’es rentré dans la tête
Admet que ceux sont ceux qui font du bruit les joueurs de trompette
Détrompe-toi… Moi, je mords mais je n’aboie pas !
J’ai des dents même si tu ne les vois pas
Méfie-toi de ce que cache ma voix !
Je suis peu entouré parce qu’il y a trop de faux et faut trier
Le cœur de pierre je sais le montrer même si le verre m’est plus approprié
Je sais régler mes compte au compte goute
Goute à ce qui t’attend petit
Plus de pitié, j’espère que t’as de l’appétit
Essuies les goutes qui coulent de ton front vas y !
T’as voulu me prendre pour un jambon… parce m’appelle « koshon » voyons!
Ca fait un bail que je suis blindé alors bouder n’est pas de mon pédigrée
J’ai appris à ne pas Dénigrer !
La France d’en haut, elle, a bien souvent des préjugés sur l’arrivée des arabes et des noirs , les immigrés
Enfin passons, moi j’ai reçu une éducation Bac + 3
Alors… suis-je bien intégré ?
 
Refrain
 
Arrêtons de déconner…
Mon, talent… Maintenant je sais que tu le reconnais !
 

04- Ça sonne faux !

Ca sonne faux quand j’entends que terroriste rime avec Muslim
Mais ils sont minces là, dans leur crane y a de la mousseline.
Méskin, à mobylette Mollah Omar et Ben Laden ont prit la fuite.
Pour les cainris hein… peu d’estime !
Ca sonne faux !
Quand j’entends : «  mes ancêtres Gaulois… »
Regarde ma gueule de renoi, je suis Monkey, pas Mickey moi !
On se moquait de moi à l’époque où j’étais à la col-lé
C’est pas grave mes oreilles sont pas décollées !
Ca sonne faux  quand j’entends : « tous égaux, tous égaux »
Pour faire de la maille quand t’es négro, faut que tu joues à la balle.
Ou faire de la zik et là, tout devient magique
Tout le monde t’aime, même les fachos deviennent amnésiques
Ca sonne faux !
Comme en politique, les débats droite-gauche
Face à l’embauche
Souvent les mêmes qui se couchent
« Touche pas à mon pote »
Parrainé par Coluche
Regardez où il est… il ouvrait trop sa bouche !
 
Refrain
 
Ca sonne faux !
Tout comme ce que beaucoup de gens font
Le mensonge est un art
Moi, j’en ai fait une chanson
Ca sonne faux !
Tout comme ce que beaucoup de gens fuient
Le mensonge… Non, Non !
La vérité… Oui, Oui !
 
Ça sonne faux
Comme ces rappeurs qui se prennent pour des Cainris
Pour eux je n’ai qu’un rire moqueur… Arrêtez vos conneries !
Tout comme ce gars qui se prend pour KING KONG
A qui je donne des cours de diction, lui disant t’es qu’un con.
Ca sonne faux comme une Go qui te dit : «  Je t’aime bébé… »
Fini par te faire de la peine et te laisser tomber.
Certaines se prennent pour des bonhommes
A revendiquent les droits de l’homme (rire)
Niquées par les doigts de l’homme !
Ca sonne faux !
Comme Canal + sans films de boules
Ils feraient faillite sans tous ceux qui se titillent le bout.
Dérisoire, comme certains produits Star Ac ou Popstar
Comment se taire à cause d’eux, des carrières s’enterrent !
Ca sonne faux !
Comme les deux mandats de Georges BUSH
Malgré toutes les conneries sorties de sa bouche.
Stupidité à toute épreuve… au bas mot
Il était temps que l’Amérique aient à sa tête OBAMA
 
REFRAIN
 
Ca sonne faux !
Comme beaucoup malheureusement
Sur mon Rap, les balivernes de ces gens médisants.
Critiquer, facile ! S’impliquer difficile
Pour simplifier, laissez ma musique tranquille !
Ca sonne faux
Comme les jaloux qui parlent dans mon dos
Koshon ceci, Koshon cela
On dirait des ados !
Ya malaise, focalisé sur mon blaz
Regardez dans vos assiettes, ce que vous faites c’est naz !
Ca sonne faux
Comme ceux qui disaient : « tu n’y arriveras pas ! »
Moi je suis là mais t’es ou toi ?
Ah ouais… Si loin que ça !
J’ai fais mes preuve à l’épreuve du mauvais œil
Ce que j’éprouve pour eux… un sentiment de deuil !
Ca sonne faux !
Comme ceux qui pensent que la zik, c’est mort !
Depuis qu’on a quitté le nord
Les jaloux parlent encore
Certains ont tenté de nous atteindre
Pour éteindre le KOAD
Rien à craindre ! La vengeance… bien meilleure, froide !
 

05- Le cœur n'a qu'une couleur

Je suis tombé sur le cul, je l’ai vécu, j’en ai gardé des bleus
Moi qui ai toujours cru que le racisme était un truc de blancs !
Alors je vois rouge quand on me parle de Tolérance
Sachant que la différence en France est un fléau à double sens
Et on met tout sur le dos des religions
Soit – disantes « traditions » en perdition, tragique on en perd l’audition
Face à l’amour dont on connait tous le son
Rythmant les battements de cœur
Comment se fait il qu’on en tire pas de leçons ?
Je suis Musulman et croyant, parfois je m’égare je vous jure j’en perds la Foi
Mon cœur a pris un coup de froid et de la Haine il est devenu la proie
Ne croyez vous pas, je m’adresse à vous parents
Que l’avenir de vos enfants, leurs descendants dépend de vos paroles ?
Ne jouez pas le rôle de celui qui tient les rennes
Car c’est de là que nait le dilemme, comment choisir face à ceux qu’ils aiment ?
Selon les zones, Zaïre, Sénégal ou Mali
Tunisie, Maroc ou Algérie, chacun prônant l’hégémonie !
Pff… elle est là l’anomalie !
On a du mal à couper ce qui nous lie aux traditions du moyen âge
Faut laisser place au métissage, enfin tourner la page
Laisser les préjugés prendre le large !
Alors parents, soyez beaucoup plus indulgents
Vous qui êtes l’instrument permettant à vos enfants de juger l’être humain
Autrement dit, peut être quelqu'un de bien
Mais comment y croire si dés le départ se creuse cet écart
Je me le demande et j’aimerais bien savoir
A quoi ressembleraient nos enfants de demain sans notre histoire
Si je vous dis ça, c’est qu’il y a une gêne, une douleur
Permettez-moi de vous dire que le cœur n’a qu’une couleur
Qu’une origine, logé dans une poitrine !

06- "On"

On est né un 28 mai
L’année… 1977
Pays d’origine, Bangui RCA
Arrivés en France, le 77
Alors bien sûr que ce département on l’oubli pas
Issu d’une grande famille… enfin si on peut appeler ça comme ça
Parce qu’à ce jour chez nous, c’est plutôt chacun pour soi
A part ça, on essaye de s’en sortir par tous les moyens
Mais même quand on fait le bien, les ennuis ne sont jamais bien loin
On touche un peu à tout…
Le sport, la musique et même les mauvais coups
Parce qu’il faut bien manger
Et y a tellement de gens qui comptent sur nous
Mais il y a aussi ceux qui bien trop nombreux
Nous mettent des bâtons dans les roues
Comment est ce qu’on les appelle déjà ?
Ah oui c’est ça… les jaloux !
On nous juge parfois juste à notre teint
Et dans les yeux de certains du noir
On y voit difficilement la flamme de l’espoir
Normal… elle s’éteint.
On nous traite comme des animaux
Parqués dans des Zoo… appelez ça des cités
Difficile d’éviter les clichés… car troubles sont les eaux !
Eux ne cessent de s’en féliciter.
On s’organise pour y installer des règles de vie
Mais l’addition est parfois salée
Alors on se plaint parce qu’on a reçu aucun devis.
Donc forcément on se laisse aller.
On a dû faire des choses dont on est pas toujours fiers
Et le problème dans tout ça
C’est qu’on montre le mauvais exemple à nos petits frères.
Mais qu’est ce qu’on peut y faire nous
Passer pour des agneaux… Non, on préfère être les loups !
On a braqué une innocente dame
Insulté les gendarmes et même vendu de la came
On a aussi nos propres réseaux pour tous les trafics y compris les armes
On en a fait couler des larmes sur les joues de nos mères
On jure même parfois un peu trop sur leur dos
Plutôt que sur nos vies de merde !
Pourtant dans le fond on est pas méchant
Mais chaque fois qu’on baisse notre garde, on nous parle comme à des chiens.
Des choix il a fallu en faire, pour certains les études
Nous, on s’est mis très tôt dans les affaires.
Parce que la vie est parfois trop rude.
On dit que l’argent ne fait pas le bonheur
Allez dire ça à mes frères
On connait déjà leurs réactions… Ouais c’est ça, va te faire…
Alors en faire devient une priorité
Pas vu pas pris… On est joueurs, c’est la réalité.
Avec la justice on joue aux chats et à la sourie
Parfois on glisse et une fois touché, difficile de sourire
On nous met à l’abri… là ou la délinquance brille
Et quand on ressort de là, on a plus le choix
Un casier, écarté de la société… Comment ne pas repartir en vrille !
C’est un peu comme un cercle vicieux
On y rentre avec un CAP de voyou
On en ressort avec un Bac + 2
Normal on y apprend tout !
Une fois dehors, on ère
Toujours à la recherche de l’or
Marre de brasser de l’air
C’est l’un des seuls arts dans lequel on excelle alors on le gère.
 
Ah oui, j’oubliais…
On a un cœur aussi, bien entendu chacun le sien
De pierre ou de verre ce qui compte c’est qu’on en ai un
On est des hommes nous !
Alors se mettre à genoux pour des gonzesses
Jamais de la vie… devant les potes, aucun signe de faiblesse !
On nous juge à nos mots nous traitant de Machos
Parfois même un peu trop
C’est dans le pétrin qu’on se renferme sur nous même.
Dire « je t’aime » à quelqu’un d’autre que nous même.
Non, on aime faire croire qu’on ressent que de la haine.
On est victime d’intolérance
Alors on trime dans l’indifférence
Certains ont même essayé de nous séparer
Pour s’emparer de nos personnalités
Mais on est indissociables
Et même si on squatte l’obscurité
On ne vénère pas pour autant le diable.
Connaissant la notion de bien et de mal
On ne demande qu’à vivre mieux
Et malgré notre coté marginal
On n’a d’yeux que pour Dieu !
 
Ce « On » que je décris va du particulier au général
Car ces mots que l’on écrit sont particuliers pour notre état mental
Indissociables et inséparables nous sommes
La somme de nos entités reflète notre identité
« On » parce que nous sommes tellement nombreux
Mais dans ce cas présents, deux
« On » parce que Idi écrit mais celui qui dit n’est autre que… « Koshon »

07- Un sourire

Rares… sont les matins ou je me lève avec lui
Aujourd’hui Dieu Merci, il m’a sorti du lit !
Est-ce un délit ?
À en voir la tête de mes voisins
Je dirais que Oui car eux ne connaissent pas ce délice.
Faire la gueule,  si facile que tout le monde le peut
Le sourire Fascine, si peu d’effort rendent heureux
Gratuit, se distribue à tout va
T’as vu le mien, si tu veux  tu peux me le rendre tu vois!
Contre la mauvaise mine, rien de tel que ce léger rictus
Qui illumine un visage, bien plus
Message adressé aux gens tristes
Afin qu’ils se laissent tenter,  sans aucuns risques
Parfois contagieux, on le dit communicatif
Quand on le laisse aller peut devenir actif
Ça commence par un sourire pour finir en fou rire
Autant dire qu’on en rêve tous… en mourir un plaisir !

Refrain :
Un sourire c’est…
Si peu mais ça fait tant
Pour le moral important
Un sourire c’est…
Un rayon de soleil
Lorsque gris est le ciel
Un sourire c’est…
Du baume au cœur
Ça fait « Boum Boum » quel bonheur
Un sourire c’est…

Passez-le comme un relais à vos voisins
A sa vision, vous le verrez bien difficile de râler.
Parfois  je fais la gueule, je sais c’est moche alors
Mes proches me rappellent combien mon sourire vaut de l’or
Ceux qui me connaissent me définissent comme un grand déconneur
D’autres comme le roi des connards mais devant font les canards
C’est pas le même son mais moi ça me fait rire.
Se croyant toujours plus malin mais de loin je les vois venir
J’ai le sourire comme quand Vivian m’a dit :
« T’inquiète Koshon, ya pas de problèmes, j’ai la solution ! »
Suffit que j’entende : « Hé tonton… » Pour commencer à sourire !
Mon neveu Kiki est celui qui me fait le plus rire.
Car rares sont les fois où il ne fait pas n’importe quoi
Ce bout en train fait des bêtises avec un sourire narquois
« De qui tu parle tonton Koshon ? »
De toi ! Tu le sais très bien
Et l’innocent aussi, ça tu le fais très bien !

Refrain

Ai le sourire comme juste après avoir rangé ta haine
Ou quand ta femme te regarde droit dans les yeux et te dis « Je t’aime »
Y a ce sourire comme quand t’annonce à tes parents que t’as eu le Bac
Et que tu continus tes études sur les bancs de la fac
Y a ce premier sourire qu’à la naissance les mamans font
A la venue d’un nourrisson, ya même des pères qui fondent
Y a ces sourires nerveux quand t’es tout seul et que tu as de la peine
Tu repenses aux bons moments que la nostalgie te rappelle
Et puis ya ce sourire unique que Méryl déclenchait
En m’appelant « Bisounours », à sa voix je flanchais
Et il y a ce plaisir que j’ai à écrire…
Cette fois c’est sûr, il va s’en dire que  je l’ai fait sourire.
Enfin y a ce plaisir que j’ai à partager mes écrits
Tous ces messages de soutiens
Ce que ça me fait, je ne peux pas vous le décrire
Mais soyez en sûrs, ils sont appréciés
Pour vous remercier voici ce titre ainsi que mon plus beau sourire.

Refrain

Juste un sourire, c’est peu mais ça fait tant
Koshon

08- Quand...


09- On veut, on peut !


10- Confidence pour confidence

J’te jure j’essaye chaque jour que Dieu fait
De l’oublier mais en vain je le sais
Le cœur blessé, j’essaye d’avancer
Mais même le temps n’a rien effacé !
Aujourd’hui j’ai refait ma vie
Je me suis mis avec ton meilleur ami
Malgré tout, condamnée à vie
A l’aimer même s’il faut que je l’oubli

Ecoute… Joyce tu vois
La vie comprend ses aléas
Même une auréole n’épargne pas ce genre de soucis hélas
On enlace nos souvenirs malgré le temps
On entasse l’amertume qui nous va comme un gant
Confidences pour confidences
C’est peut être qu’une coïncidence
Mais tes révélations  font écho et ont une incidence
Sur les choix que je vais être amené à faire
Je pense pouvoir te faire confiance pourquoi me taire ?

Depuis que je fréquente ta copine, moi, je croyais être conquis
Elle et moi pas le dessin de l’Amour, juste un croquis.
Le destin m’a condamné à être accro à tu sais qui
Ces écrits me permettent donc d’étouffer tous ces cris
Te conseiller m’est difficile étant moi-même en déficit
De bon sens, ce qui m’incite à briser ce silence
A ces peines aucuns recours
Si ce n’est le temps mais j’en manque
Mon cœur ne cesse de crier « au secours »

Refrain :
J’te jure j’essaye chaque jour que Dieu fait
De l’oublier mais en vain je le sais
Le cœur blessé, j’essaye d’avancer
Mais même le temps n’a rien effacé !
Aujourd’hui j’ai refait ma vie
Je me suis mis avec ton meilleur ami
Malgré tout, condamnée à vie
A l’aimer même s’il faut que je l’oubli

11- À jamais (Introduction)

On dit que demain c’est loin mais hier est si proche
Que je ne crois plus vraiment en rien même si tu vois que je m’accroche
Je triche tu sais, triste je le suis même si j’essaye
De garder le sourire alors que mon cœur lui est blessé
Baisser les bras… j’avoue je suis tenté !
Atteinte est ma fierté, moi de cette Amour je suis l’héritier
L’éviter, comment aurais je pu ? Aveugle je l’ai été
Hanté par son image depuis que son personnage m’a heurté !
L’aorte est touchée… A l’intérieur je me vide de mon sang
Avide d’émotions, dans le son ça se ressent
Le récit de cette séparation pas vraiment récente
Réussir à couper les ponts devient si pressant
Que j’ai du mal… à trouver mes mots pour définir ces moments si présents dans ma mémoire
Et cet Amour ne meurt pas, bien au contraire sur moi prend le pas
J’en suis redevenu l’appât, mes songes en deviennent cauchemars
Ce qui fait que je replonge… seul dans le noir !

12- À jamais

Je reprends ma plume avec l’amertume et le goût des larmes que j'écume
Car aucune ne m’a fait cet effet qui me tue mais c’est sans rancune
Que j’assume mes dires à ton sujet
Tu l’as toujours su à mon insu quand dans mon regard tu plongeais
Ce bon vieux temps, j’ose à peine y songer
J’aimerais pouvoir parler de nous au présent pas au passé
Avec « Toi-même tu sais… » je pensais pouvoir passer
Au dessus de tout ça, mais ce fut sans succès tu sais
Tous ceux qui l’ont écouté ont pu gouter à ma peine
Et voir à quel point sans toi, moi de la vie j’étais dégouté
Sans compter sur le fait qu’on s’était fait des promesses
C’est là que le bas blesse, tu m’as laissé en état d’ivresse
Moi j’appel ça : « Non assistance à personne en danger ! »
Pourquoi as-tu changé au point qu’on passe pour étrangers ?
M’étrangler, j’ai bien failli plus d’une fois
J’en ai même perdu la foi, mon cœur à pris un sacré coup de froid !
Dans ma tête, plus rien ne tournait rond comme une chanson sans Refrain
Control perdu comme avec une voiture sans freins
Le mot « Fin » annonce un crash sans test
Je m’accroche mais je déteste le mot  « Amour » mon cœur en atteste
Pourquoi ? Là est la question…
Je me la suis tellement posé que j’en ai fait une indigestion
Tout cet Amour que j’ai pour toi me tue, j’aimerais qu’on me rende ce qui m’est dû
Toi et ton sourire, dur est mon crash contre ce mur !
Le fond je l’ai touché mais je continu de creuser
Le cœur écrasé par cette pression que j’ai du mal à maitriser
Mes écris sont focalisés sur toi
Paralysés par tous ces souvenirs que même le temps n’efface pas !
Je t’aime d’un Amour mortel qui chaque jour me tue un peu plus
Ma puce, Je me sens tel un ange plongé dans le vide sans ses ailes
C’est drôle, mais je me dis que ce qui nous a fait défaut
C’est cet Amour que je ressens et qui m’a rendu fou
A tes cotés je voyais tes défauts comme des qualités
La vérité c’est que par eux je me suis laissé envouter
Moi, je n’aurais jamais cru te parler qu’à travers mes écrits
On était si proches que ce que je décris aujourd’hui ça craint !
Je suis comme condamné d’Amour à perpétuité
Depuis que mon cœur à percuté le tien, je purge ma peine en panne de soutien
Le ciel, lui ne m’a pas acquitté
Mes larmes je les retiens mais ça n’enlève rien à ce que je viens raconter
Je ne m’y étais pas préparé quand notre histoire à déraillé
Pour réparer je serais prêt à tout, replonger me rend apeuré
Je n’ai pas peur d’avouer qu’il m’est arrivé d’en pleurer
Et je mentirais si je disais que de toi je n’attends plus rien !
Mes yeux ont connu le rouge de douleur, mon cœur le noir
Elle est loin la vie en rose, j’en ai perdu tout espoir
Mon ciel bleu a viré au gris, mon Amour lui est devenu aigri nourri par mon chagrin
Mais tout ça c’est rien !!!
Je t’aime d’une haine que t’imagines à peine
Et je te déteste d’un Amour qui me cause tant de peine
Noyé dans ce tourbillon de sentiments, je m’éteins lentement mais sûrement
Mes blessures elles, ne cicatrisent pas vraiment
Juste un sourire, un mot ou un regard de toi m’aurait suffit
Mais regarde toi, quand tu me croises ton bon sens fuit
Est-ce là le fruit de ce que j’ai semé ?
Moi qui ai toujours juré de ne jamais cesser de t’aimer !
Injustement tu nous as punis au détriment de qui ?
Puisque tu n’affiches plus ce sourire que déclenchait Didi
Et justement en parlant de lui, il aimerait revenir
Condamné à mourir depuis que tu m’as quitté !
T’as pas idée à quel point à mes yeux il comptait
A ses cotés je me sentais prêt à tout affronter
T’as découvert ce personnage que j’aimais plus que moi-même en moi
Et depuis que t’es partie, je suis redevenu moi avec lui en moins
Non c’est pire ! Mon empire s’est dissout
Mon avenir parait flou, mes souvenirs ont un gout
Que j’ai du mal à définir, dépressif en devenir
Facile à deviner j’ai égaré mon sourire
La serrure de mon cœur verrouillée à jamais
Le plus dur est de me dire qu’on se pardonnera peut être jamais
Tout ce bien qu’on s’est fait que je hais confesser
Tout ce mal qu’on se fait depuis qu’on s’est séparé
Le pire, c’est que sans même se parler, les choses ne font qu’empirer
Alors qu’on pourrait en mémoire du bon vieux temps, tenter de réparer
Ce qui a déraillé ce maudit 8 mars que je hais
Car j’avoue que depuis ce jour, j’ai perdu gout à tout
Face à mes peines et angoisses, je te le jure tu étais mon seul atout
Toute cette tristesse me pousse à mettre à nu toutes mes peines
Sans toi ma vie n’est plus la même donc je te le redis… Je t’aime !

13- La ferme !

Faut que je me lève et que je me lave
J’ai rendez vous pour un plan Love, putin !
Les yeux à peine ouverts… Mes rêves, chauds !
Témoin, la bave sur mes coussins !
Cousin tu c’est comment c’est
La flemme pour tout, mais j’essaye
La journée ne fait que commencer !
Direction la salle de bain, j’ai du mal à tenir debout
Et la seule chose de bien c’est que l’eau froide ramollie le bambou
Je me fais beau…  à rendre CLOONEY jaloux
Après avoir « cleané » mes chicots, ça sent la rose j’avoue !
Arrivé en bas de ma tour, personne aux alentours
Mais une odeur si forte, est ce mon deo qui me joue des tours ?
J’espère que non… J’ai rendez vous avec un canon
Je vois au loin une silhouette qui ne m’est pas inconnue
Il me crie : «  Wesh poto ! »
J’ai cru que j’allais caner… sans déconner
Plus il se rapprochait, plus l’odeur cognait !
Voyant le malaise venir
J’ai juste eu le temps de lui dire :
« Y a urgence bonhomme »
J’y ai fini dans les pommes !

Refrain :
C’est chaud poto
Brosse tes chicots parce que je te jure que ça choque putin
Des morts, t’en feras plus d’un
Quand t’ouvres la bouche… pense à nos zen
Ou à la couche d’ozone
Parce que ton haleine gène !
C’est chaud poto
Brosse tes chicots parce que je te jure que ça choque putin
Des morts, t’en feras plus d’un
Quand t’ouvres la bouche… pense à nos zen
Ou à la couche d’ozone
Nous, on a besoin d’oxygène

Dans la journée plus tard
Je me réveille sur un brancard
Le médecin voulait me garder
Mais bon, je me barre ! Moi, j’ai rencard
Avec cette go qui me trotte dans la tête
Mais à ce moment là, j’ai des nausées
Donc il faut que je m’arrête !
J’arrive au stade… me raffraichi
A peine assis les potes m’incitent
A jouer au foot mais je fais des chichis
Je réfléchi et me laisse tenter
j’aime trop le sport, grâce à lui mon corps est sculpté !
Mais y a ces gars qui se la racontent
Qui rêvent de signer chez les pros
La plupart du temps des gros cons
Qui sur le banc ont les crocs !
Hé ouais gros, l’hygiène de vies…  n’est jamais de trop
Et si tu faisais attention, dans tes dents y aurait pas ces trous !
C’est trop fort cette odeur que tu dégages…
C’est comme des gaz à effets de serre dont tu te sers
Pour dire : « Dégage ! »
Des gars comme toi, on devrait les mettre en cage
Loin d’être impec
Comme cet animal qu’on appel Fennec !

Refrain 

J’arrive chez moi souillé, saoulé
Donc je me refais couler
Un bain dans lequel je me pose pépère
Je reste cool et…
J’peux pas m’empêcher de penser à cette soirée
Qui m’attend avec les potes on va bien se marrer !
Le miroir me dit avant de sortir :
« C’est bon, tu peux y aller… »
Y a les jaloux qui jacteront tellement l’allure est soignée
J’arrive dans ce Bar…
Lieux du rendez vous
Et là, une go me fais les yeux doux
Je me dis : « Doudou va serrer Boo ! »
Mais bon pour le moment
Je m’assois calmement avec mos potes
En gardant un œil sur la Maman
De mes futurs enfants, enfin
Ce moment là je l’attend de puis longtemps maintenant !
Sa fraicheur ravi mon teint !
Atteint par son charme
J’arme l’arme de séduction massive
J’avale ma salive quand à coté d’elle j’arrive …
Alcool, clopes et café
J’ai gaffé…
Je lui ai demandé son nom
A peine ouverte… Je me suis dit : « Oh Non ! »

Refrain

14- Noctambule


15- Gore

Putain, Merde ! La moitié de mes piges, premiers pas
Dans le rap et certains ne pigent pas
Des pages, plein à mon actif
Chez moi maladif avec mon kif je ne triche pas !
Enfermé jours et nuits au Labo
Pour seul compagnon, ma MPC et un Stylo
Retranscrire ce qui me passe par la tête
Mon seul passe temps, enlève le moi je me jette par la fenêtre
Dans le Rap français je suis craint tel un justicier
Me justifier, Pff… au moindre geste on sait !
Vois ce que ça fait, j’y mets juste un pied
L’air inquiet de mes victimes en témoigne, manquent moi de respect
Un stylo dans la jugulaire en guise de pieux
Je m’éloigne, une prière m’excuse auprès de Dieu
Moi, je n’ai d’yeux… que pour ma Zik
Magique, canalise ma haine… Y a qu’à voir mes yeux
 
REFRAIN :
 
GORE !!!
Au départ, je voyais l’insomnie comme une tare… J’avais tort !
GORE !!!
Parce que pendant que tu dors, je deviens de plus en plus fort !
 
Sérieusement
Je suis la cause de licenciements Artistique
Mon art victime de « Tics »
Mes statistiques prouvent ! Partout où je passe
Mes traces, des marres d’encre en guise d’indice de chasse
J’ai ça dans le sang, je vois des faux je le descends
Loin d’être un saint, je te l’ai déjà dit sur certains sons ça se sent
Assassin de MC même s’il le faut
Fauche soit disant Artistes Rap, Slam ou R’N’B
Si je dois mourir
Je le ferais avec les honneurs
Avant de partir frère, « Gore » de quoi faire un film d’horreur
Redorer le blason du K.O.A.D
Pieds encrés dans le ciment, de quoi mettre K.O en Indé
Ce sera « Gore » tant que je respirerais encore
J’aspire à un monde meilleur, l’encre en guise de décor
Mais Shut…, temps de faire le ménage
Mon art un manège
Plus de respect, malgré mon âge !
 
REFRAIN :
 
Le Rap Français… boycotté !
Trop le fond ramer
 Je viens le ramener du bon coté
Ne comptez pas sur moi pour dévier de ma cible
Et si je réussi, ma veste… pas réversible
Je donnerais tout ce que j’ai…
Cette Zik, tout ce que j’aime
La voir salie, tout ce qui me gène !
Sachez tous que je hais qu’on y touche
Comme une tache sur une feuille blanche
Moi, les mots je les couche.
Ma bouche… un véritable haut parleur
Inimitable pour faire taire les beaux parleurs
Je squatte Stud pour moi c’est pas l’heure
Mon Skeud arrive, en voici juste une lueur
Les rumeurs je m’en fous ! Rien que des ragots
Les dires des rageux, dans le dos peu courageux
Loin d’être un jeu, retiens la leçon
Depuis le début t’entends « Je »… De la voix tu connais le nom !
 
REFRAIN :
 
Koshon !
Pour le K.O.A.D.9
 

16- Ma solitude me manque

Au départ je n’avais rien, si ce n’est mon potentiel
L’étincelle dont j’avais besoin, je l’attendais du ciel
Vous m’avez tendu la main,  ce geste providentiel
Je n’oublierais jamais
Grâce à vous je me sens beaucoup moins seul !
Mais c’est là que je me demande si je l’ai vraiment voulu ?
Ma notoriété évolue et je dois vous faire cet aveu
Ma solitude me manque…
Et je me demande si vos regards me mentent ?
Ça me monte à la tête alors j’ai peut être des remords
A être devenu ce que je suis
Paparazzé par les magazines genre GALA ou VOICI
Evincée est ma vie privée, la preuve en est que j’ai le souci
De ne plus pouvoir circuler ici et là
Hélas, j’ai ce poids dans ma poitrine parce que ma vie est une vitrine
Derrière laquelle j’exprime ces craintes à travers mes rimes !
Car j’ai du mal avec le mot F.A.N
J’ai peur qu’avec le temps il fane, que F.I.N me replonge dans la déprime
Je suis un des premier cas d’artiste à être contradictoire
Car je vous en veux de m’avoir donné ce que j’ai toujours rêvé d’avoir
J’ai ce devoir envers vous tous d’être honnête, ma solitude me manque
Et c’est le bordel dans ma tête !
Pourtant j’avoue que j’ai toujours eu ce désir omniprésent de briller
D’être adulé de vous tous,  pour ça j’ai souvent prié
Mais je me sens comme prisonnier, pieds et poings liés
Mes moindres faits et gestes épiés
Dans quel guêpier ais je mis ma plume ?
Moi qui aime tant vous écrire
Pour vous décrire mon amertume due à ces peines que j’écume
J’ai comme un sentiment de culpabilité envers vous tous
Plus en plus de mal à respirer, votre soutien m’étouffe !
Ma solitude me manque…
Alors je me demande si vos regards me mentent 
J’ai peur d’affronter la descente !
Car dans vos cœur peut être qu’un jour  je cesserais d’exister
Vous cesserez de m’aimer mais moi, jamais je ne vous oublierais !
Vous m’avez apporté le sourire, moi qui le croyais perdu
Pendu au bout d’une corde dans mes cauchemars donc réveils tendus !
J’ai tant d’estime pour vous car sans vous je ne suis rien
Comme je le disais, dés le début vous m’avez tendu la main
Etendue est l’ampleur  de mes écris, au quotidien je deviens quelqu’un
Car j’entends toutes ces choses qui m’aident à me sentir bien !
En apparence, puisqu’à l’intérieur je brule d’envi
De mettre un terme à toute cette transparence qui plane au dessus de ma vie !
Cet Album je vous le dédie…
Parce que sans vous y aurais pas l’artistique, que serait Koshon sans Idi ?
Que vous l’ayez acheté, gravé ou piraté sur internet
Vous m’écoutez alors le reste je m’en fou pour être honnête !
Vous  apporté cette lueur d’espoirs à mes idées noires
Donc vous appartenez à mon histoire sans même le vouloir
Alors je vous le demande…Est-ce que vos regards me mentent ?
Ça me monte à la tête
Sachez que ma solitude, elle… me manque !
 
Moi… en tant qu’artiste
Je me dis que sans vous, cet art serait triste
Ce texte en atteste
C’est pour et par vous qu’on existe !
 
Merci !

 


01- Ca y est !



02- Je dis

Je dis : mettez les Mic à l’abri
Mes yeux brillent, on va pas palabrer !
Ton flow… part en vrille
A mes yeux t’es une bille Pff... T’es grillé !
 
Je dis : t’as voulu
Me mettre la muselière
Parce que je m’amuse avec la langue de Molière.
Ne sais tu pas que je maitrise… les mots
Et l’art à ma manière
 
Je dis : Tu peux me juger au pseudo
Je trouve ça triste
Je ne suis pas un pseudo artiste
Es tu prêt à prendre ce risque ?
Marrlich… Je note ton nom sur ma liste !
 
Je dis : à ceux qui n’ont pas compris
De demander à ceux qui ont pris
Le temps d’écouter tout ce que j’ai dit
Parce que je ne redis jamais 2 fois ce que j’ai dit !
 
REFRAIN :
 
Faites ce que je dis
Pas ce que je fais
Parce que ce que je fais
Est toujours parfait !
Vous ne sauriez le pas faire
Comme je le fais
Alors faites ce que je dis
Surtout pas ce que je fais !
 
Je fais à peu prés tout ce que je veux
Un crayon, du papier hé fais un vœu
Je sais que ça fait des envieux
Mais qu’est ce que tu veux ?
Des comme moi, y en a pas deux
 
Je fais attention aux médisants
J’étais comme eux  à l’époque mes dix ans
Mais disons qu’avec le temps
J’ai grandit heureusement
Mes dix ans dans ce milieu fêtés depuis longtemps
 
Je fais ce que je veux de ce jeune rappeur
Qui a pris en chemin mes idées
Pff… Pas de quoi avoir peur
Croyant que mon univers se limite à plume et parchemin
Mais gars… t’auras jamais mes vers
 
Je fais toujours ce qui me semble bien
Et j’essaye tous les jours de faire le bien autour de moi
Mais je ne fais pas… aux autres ce que j’aimerais pas qu’on me fasse à moi
 
REFRAIN
 
Je suis out simplement ce que je suis
T’arrête pas au pseudo si tu m’aimes… suis
J’essuie réflexions d’autrui
Mais Koshon ne signifie pas que ma femme est une truie !
 
Je suis ce qu’on appel un amoureux des mots
Tu me suis…Pas besoin de démo
Des mois et des mois, même des années à bosser
Je regrette rien !
Que serait le futur sans le passé ?
 
Je suis passé par tellement d’étapes
Ne croyant plus en personnes
Aidé par des taupes
Tous ça pour dire
Qu’en sous terrain j’ai creusé pour y arriver
Sans tes reins, t’es rien !
 
Je suis celui qu’on aime détester
Mais…Viens pas me tester
Prouver  que t’es testiculé
J’ suis pas ce que tu crois
Ni qui tu crois
Je suis juste moi...Crois-moi
Chacun sa croix !
 
REFRAIN :
 
 
K.O.S…H.O.N
Dis toi que tu peux pas test
Le KOAD, je lève mon oid
Pour ceux qui nous détestent !
 
K.O.S…H.O.N
Dis toi que tu peux pas test
 

03- Cyber espace

Je suis Rockefeller, parfois j’avoue un peu fêlé
Beau gosse, dans mon monde à mes pieds les filles
Facile, je les tomber toutes comme des quilles
Tranquille, c’est mon espace, à toute heure j’y défile
J’connais tout le monde et tout le monde me connais
Sans déconnais, depuis que j’y mets le nez, j’y suis une icône
Mon trône, une chaise roulante sur laquelle je tourne
A coup de clic, magique, je suis pas un clown
Dans mon espace, le temps… Toujours agréable
Mon corps, celui d’un athlète formidable
Je ne crains rien ni personne mais tout le monde me craint
Derrière l’écran mon nom raisonne comme celui d’un grand
Mon degré d’implication s’élève à 100 %
Pour ça, faut que dans mon espace, je passe tout mon temps
Et mon territoire s’étend à perte de vue
Divine est cette invention (Laquelle ?) bah devine !
 
REFRAIN :
 
 J’ai le monde à portée de main
Dans mon cyber espace
J’ai peur de personne, moi
Dans mon cyber espace
Mes délires sont déments
Dans mon cyber espace
C’est comme ça que ça se passe
Dans mon cyber espace !
 
Je contrôle tout de mes 2 mains
Dans mon cyber espace !
Et tout le monde me craint
Dans mon cyber espace !
Même si tout se faire derrière l’ecran
Dans mon cyber espace !
C’est comme ça que ça se passe
Dans mon cyber espace !
 
Un jour j’ai quitté mon espace pour une brève escapade
Je ne réalisais pas que pour moi ce serait l’estocade
Voulant tenter le réel, laissant de coté le virtuel
Avec  cette fille plutôt belle, pas de bol elle n’était pas seule
Mais je m’en fou moi… J’ai le monde à mes pieds
Et peu importe, qui que tu sois, respect si tu veux la paix
Malgré son mec balaise
Je m’avance vers elle… plutôt à l’aise comme je sais le faire
Devant l’écran sur ma chaise !
J’ai dit : « Miss please, puis je toucher tes Tities »
Là, sans comprendre pourquoi, elle me tape une crise
Cerise sur le gâteau, son gars qui est là à me guetter
S’avance vers moi sans me douter que j’allais regretter
D’avoir quitté mon espace, j’voulais le remettre à sa place
Donc malgré mon physique, je ne perds pas la face
Il me dit : « Qu’est ce qui se passe ? »
J’ai répondu : « Ta gueule ! »
Il m’a cassé la mienne, depuis j’ai mal quand je rigole !
 
REFRAIN :
 
 J’ai le monde à portée de main
Dans mon cyber espace
J’ai peur de personne, moi
Dans mon cyber espace
Mes délires sont déments
Dans mon cyber espace
C’est comme ça que ça se passe
Dans mon cyber espace !
 
Je contrôle tout de mes 2 mains
Dans mon cyber espace !
Et tout le monde me craint
Dans mon cyber espace !
Même si tout se faire derrière l’ecran
Dans mon cyber espace !
C’est comme ça que ça se passe
Dans mon cyber espace !
 
3é COUPLET …
 
J’ai la classe même à poil…
Dans mon cyber espace !
Y a mes traces sur la toile…
C’est mon cyber espace !
Venez avec moi, y a de la place…
Dans mon cyber espace !
Je vous mettrais biens en première classe…
Dans mon cyber espace !
J’y suis le Roi, quoi que j’y fasse
Dans mon cyber espace !
Quand je mens, on me crois
Dans mon cyber espace !
Enfin voilà tout ce qui se passe…
Dans mon cyber espace !
Salut, moi je me casse…
Dans mon cyber espace !
 
Je suis comme un chat… J'aime jouer avec ma souris

04- Ma porcherie

J’ai commencé ma vie le 28.05 dl ‘année 7.7
Arrive en France à l’âge de 3 ans m’installe dans le 7.7
Cette année là entre mes parents les choses se corsent
La bombe s’amorce quand le juge prononce le divorce
Séparation nette du 7.7 je déménage
Compte tenu de mon âge ne m’rend pas compte du naufrage
Qui laissa au large mon père,
Aujourd’hui je m’y perds
Passé la trentaine, du mot famille je perds mes repères
Seul rempart auquel je m’accroche dur comme fer
Mon grand frère, thermostat durant cet enfer
Les années passent le Basket prends de plus en plus de place
Accepte un contrat pro obligé de faire face
S’en va à POISSY CHATOU
Moi je me disperse touche à tout, failli être sous écrou
Vie de plus en plus floue
Tombe sans toucher le fond du trou
M’charrie prend le pari
Que je mourrais sans préavis dans les bras de ma chérie
 
REFRAIN :
 
Venez avec moi dans ma porcherie
Miss Mélancolie me dit « entre… et ferme la porte chérie »
Tant de vautours me tournent autour dans ma porcherie
Ma vie sans artifices ni supercheries
Quand je suis seul dans ma porcherie
Je lui dis, t’en fait pas ! Causeras pas ma perte chérie
Je vous ouvre les portes sur… ma porcherie
Une vie sans artifices ni supercheries
 
Les années lycées là où je m’étais fixé
Tant d’objectifs à atteindre
Tandis que certains voulaient me voir glisser
J’entendais dire de part et d’autre « Arrête de rêver ! »
Je savais qu’avec de la volonté, j’y arriverais
J’avais les US en ligne de mire
Balle orange que j’admire
J’en ai tellement bouffé à en vomir
Vaut mieux ça que de trainer
Je passais mon temps à m’entrainer
Détrôner sans jamais renoncer mon but premier
Levé à 5 du mat, un patron qui m’exploite
Le loyer, les études situation délicate
Accident de travail de celui qui m’héberge
Un excédent de maille fait que je lui tends une perche
Moi je voulais pas de problèmes
Eux pensent que je les cherche
Les temps sont durs, saison sèche faut régler la Fac
Je l’ai payé cher quand il m’a dit :
De quelle Argent tu parle ?
Ce jour là si j’avais un flingue, bah je me serais mis une balle !
 
REFRAIN :
 
Retour forcé en France
Moi qui aurais pu passer pro,
Parce que sur le terrain au States j’avais les crocs !
Cette pression quotidienne, bah ça me manque trop
Pour ça que je vis à cent à l’heure, sans ça je serais à cran
Accrue est ma méfiance vis-à-vis des gens
Ecrire mon remède, ça m’aide apaise mes peines
Je me fous de l’avis des gens
Déjà dit à plusieurs reprises : « loin d’être un saint ! »
Essaye juste d’agir comme quelqu’un d’intelligent !
J’ai la zik pour exprimer mes idées en Inde
Loin d’être blindé comme les Majors
J’use du système D
C’est magique, vous verrez... peu m’ont aidé
Je mettrais mon nom en haut de l’affiche, les bacs inondés
Je sais qui m’entoure, évite les vautours
Attends mon tour, le sourire en coin
Viendra ce jour !
Aujourd’hui Dieu merci j’ai une femme chérie
Qui nous aimes moi, mes défauts vie dans ma porcherie
   
On a tous des cotés sombres qui hantent nos vies
Tous des mauvais coups de la vie qui nous lient
Mais tous ça fait partie de nous même si on subit
Des rêves plein la tête… être che-ri, rouler en Porsche
On a tous en nous une part de porcherie.
 

05- Flash special

 

06- GDC

Eux, ils opèrent …jours et nuits
N’ont jamais peur des ennuis
Dans le milieu n’ont que des amis
Mieux organisés que quiconque,
Leur poids dans le grand banditisme, égale à King Kong
Et qui que tu sois, ou que tu sois
La taxe est à payer que tu dormes dans la merde
Ou  la soie, jamais sur une dette aucun d’eux ne s’assoie !
Rien qu’à leur attitude et au costume ça se voit !
Te voile pas la face… aucun état d’âme
Dépouillent des tas d’hommes
N’épargnent ni enfant ou femme !
Ont pour emblème la flamme de la république
Si tu réplique, ta vie devient un bien public
Attend que je t’explique
Face au Gang des cravates inutile de se battre
On connait tous la musique
Tu la fermes, t’obéis pour te faire oublier
Car eux n’ont foi qu’en une chose
La loi des billets !

Refrain :  
Mettre une Famille à la rue
C’est Légal
Leur  statut  permet des abus Mais…
C’est Légal
Prennent  ce pour quoi on s’est battu
C’est Légal
Certains en crèvent n’y croyant plus
Ça leur est égal !
Résiste pas ou t’es perdu
C’est illégal
Refuser de payer ce qui est dû
Illégal
Dénoncer certains de leurs abus
Illégal
Faut le faire même si c’est tendu
Ca m’est égal !

Le gang des cravates
Opère à visage découvert
Et si tu l’es, ta banque fera le nécessaire !
Saisie sur salaire, ça leur est autorisé
Ç a a l’air fou comme ça mais l’état l’a légalisé !
Banalisé le crime déguisé en homme sensés représenter
Le peuple à l’Elysées, enlisés dans les magouilles
Mais qui paye ? c’est nous !
Malgré qu’on n’ai rien dans les fouilles
Les impôts ? c’est nous !
Si t’as faim, manges mais le GDC s’engraisse
Joue pas au plus fin, ils connaissent ton adresse !
Un  petit coup de main pour te ménager
T’aideront même s’il le faut à déménager !
T’as beau savoir nager
S’ils veulent te couler ils le feront
Donc joue là cool et paye à la sueur de ton front
Viennes s’ajouter  les frais de retard
Donc intérêts dont tes enfants hériteront
Lorsqu’on t’aura enterré !

Refrain

Selon moi l’état est le plus gros Bookmaker
La Française des jeux, son groupe bancaire
Quasiment pas de concurrence, si ce n’est le Casino
Le GDC veille au grain, en devient même braqueur !
A cours de jus, EDF alimente
Elémentaire mon cher, les apparences nous mentent
Les vrais voyous,  pas toujours dans les quartiers
Cravattés ou en robe, ne nous font pas de quartiers
Ça taxe à tout va, alcool, tabac et TVA
Attends, tu verras qu’avec le temps l’ENA
Comptera dans ses rangs de plus en plus de requin
Aux dents longues, à la conquête du monde !
En cas de saisie, comme les bandits le font
Pour récupérer ton bien, ya demande de rançon
Mais que fait la justice ? Soupçonnée complice...
Les recettes dans ses caisses
Négociateurs Police!

Refrain


07- Une vie sans toi(t)

Je ne m’étais jamais imaginé sans toi jusqu’à ce fameux matin
Ou dans nos draps en satin, ton cœur s’est éteint
C’était un jour comme un autre, plus jamais la même
Refaire ma vie avec une autre,  impossible !  Je t’aime trop !
Chaque jour que Dieu fait… j’ai de plus en plus faim
Mais t’es partie avec mon appétit ainsi que ma foi
Sans toi, j’ai plus droit à rien !
Tous ces moments intimes et câlins collés l’un contre l’autre
Je ne peux même pas rejeter la faute sur qui que ce soit
Sans toi, ma vie n’a plus vraiment de sens
J’aurais aimé que nos flammes se mêlent pour donner naissance
Au fruit de notre Amour, je n’aurais point de descendance
Parce que sans toi, il y a ce manque qu’on appelle dépendance !
Finis les soirées ennuyeuses, les prises de bec sérieuses
Suivies de nos réconciliations, siestes crapuleuses
Tout ça pour te dire que tes défauts, je les voyais comme des qualités
Ton absence me fait défaut, des fois j’aimerais tout quitter !
 
Refrain (chanté)
Sans toi, je me sens un peu comme un SDF sans toit
Sans toit, mon cœur est si seul et froid
Crois-moi,  je pourrais te le répéter Cent fois
Sans foi,  j’ai plus ma place dans cette vie sans toi !

Alors me voilà sans toit
Depuis, j’ai perdu mon boulot
Au bout du rouleau je nettoie mon estomac au goulot
Gelé je le suis parfois, hélas ce sont les aléas
Squattant les allées ici et là depuis que je suis sans toit !
Me voilà entre quatre murs de cartons
Ma voiture, échangée contre un caddy, faute de fonds
Mes fautes me font du mal mais sans toit j’ai du mal
Je croyais qu’il n’y avait rien de plus beau que de dormir à la belle étoile !
Sans toit,  plus de courrier, plus de factures
Mais au réveil, des courbatures, mes nuits sont dures
Je dors à même le bitume, faut que je m’y habitue
La vie me tue à petit feu !
En parlant de ça, besoin de me réchauffer auprès de mes amis
Depuis que je suis sans toit, je les ai eux
Et leur vie me rappelle tous les jours combien sans toit, je me sens amoindri
A moins d’un miracle, c’est ici que je finirais par mourir
Alors je repense au bon vieux temps, sans toit j’ai perdu le sourire !
 
Refrain (chanté)
 
 Ce beau matin, décrété mort d’après mon  teint
Peu de gens se sentent atteins par mon triste sort
Sourds à mes appels au secours, passant sans dire bonjour
Je dirais même que certains souhaitaient me voir disparaître un beau jour
Ma tente en carton ne ne viendra plus encombrer vos beaux quartiers
Vous m’écartiez de votre réalité !
La vérité, c’est que j’étais comme vous avant de sombrer
J’ai hérité d’un avenir sombre depuis que mon cœur m’a quitté !
J’ai perdu goût à la vie jour après jour sans toi…
J’ai tout perdu, boulot, amis, me retrouvant sans toit 
Pouvoir te revoir à nouveau, j’en ai rêvé cent fois
Parce que vivre sans toi m’est impossible sans foi !
Ma douleur était sans fin, je viens te rejoindre, enfin !
La vie ne me veut plus à ses cotés, j’ai lutté en vain !
Je ne vais pas vraiment lui manquer, elle se fera sans moi
Avec toi, sans toit mais aux cieux à tes cotés !


08- Tom

Refrain :
Mais qui est cet homme ?
Il s’appelle Tom
Mais c’est qui ce Tom ?
Un sacré bonhomme
Sérieux, tu m’étonnes et…
T’en fais peut être des tonnes ?
Pff… Je vois bien que tu connais pas Tom
 
Tout à commencé ce jour où il est arrivé ici
Tu sais comment c’est, il a tout fait pour qu’on l’apprécie !
En principe quand t’es nouveau, tu te fais plutôt discret
Mais lui se faisait remarquer cachant un lourd secret !
Il s’est vite adapté, adopté par son entourage
Et quoi qu’il fasse ici, bah… tout le monde l’encourage
C’est comme un messie (quand même pas ?)
Mais si ! Toi, tu sais pas à quel point tout le monde l’aime
Mais Dieu merci j’ai flairé l’appas
Y a pas à dire, il est malin, sourire mielleux quand on lui sert la main
Il sait se mêler à la masse, mince ! C’est plus que dément
Tu serais pas jaloux ?
Non ! Pff… C’est à moi que tu le demande ?
J’ai de quoi alimenter mes craintes et le mettre à l’amande !
Mais vas y, je t’en prie… suis le troupeau et sois à ses pieds
Moi, je sais ce que je sais, j’ai même plus besoin de l’épier
La pire des erreurs que tu puisses faire serait de te laisser attendrir
Moi, je vais te faire atterrir …Mais attends avant de rire ?
J’étais comme toi tu sais, curieux de savoir qui s’était
Tu seras comme moi quand tu sauras tout ce que je sais
Mais viens,  on bouge d’ici avant qu’il vienne serrer la main
Si j’étais lui, je cesserais de faire le malin !
 
Refrain

Tout au début j’ai cru en lui, un peu comme tout le monde
J’ignorais tout de sa maladie, que chez lui ça tournait pas rond
Je faisais que parler de lui à la maison à en saouler mes parents
Ma parole…  J’ai honte quand je repense à cet époque
Y a quelque temps ma mère m’a dit : « invite Tom à manger »
Même elle, l’a trouvé sympathique et a mis du temps à changer
Son point de vue sur lui étant donné que je me suis chargé de lui dire toute la vérité
Parce que moi, ça me dérangeait !
Et ça me démangeait de le dire à tout le monde histoire de me venger
Mais j’ai rangé cette haine que j’avais engrangée !
Le danger était la crainte d’une éventuelle contagion
Donc je changeais de trottoir chaque fois que je le voyais… à l’horizon
Jusqu’au jour où il est venu me parler
Cherchant à me dissuader de garder pour moi tout ce que je savais
Ce lourd secret si sacré, car si ça se sait, sa craint
Ça créera certainement des polémiques mais chacun sa croix
Quand j’ai triquard sa maladie j’ai eu du mal à le croire
J’ai demandé et on m’a dit qu’il n’y avait peu d’espoir
Tu dois te dire que je suis un monstre
Et que je mériterais qu’on me condamne
Mes propos mais…
 
Refrain


09- (...)

 

10- Il a raison

Commençons par le début à l’heure où tout allait bien
Tout était beau entre nous alors bien sur je m’en souviens
Combien de fois avons-nous joué au chat et à la sourie
Courir je le faisais après toi, toujours avec le sourire
Tu m’as appris ce qu’était la patience
Moi qui n’avais jamais le temps d’attendre
Pour partager ces moments intenses et si tendres
Me prendre la tête avec toi, jamais au programme
Rien n’était grave dans tes bras mais aujourd’hui je rétrograde !
Je passe de la lumière à l’ombre alors sombres sont mes pensées
Avancer le cœur pincé m’est impossible tu sais
Pour atténuer la panne sèche dans mon cœur j’ai arrosé mes joues !
Des jours durant j’avoue que cet Amour m’a mis à genoux !
Gênant quand on sait que l’homme incarne la Force
Juste une apparence, grattes un peu l’écorce
Et vois qu’écorché est mon torse ce qui bat dedans émet un son
T’as beau changer comme les saisons, j’écoute mon cœur il a raison !
 
Refrain :  
C’est bien connu « le cœur a ses raisons que la raison ignore »
Et peu importe la saison, il continu de battre fort ! Voyons (Boum Boum)
Tiens, t’entends le bruit que ça fait ?
J’écoute mon cœur… lui seul a raison !
Tu sais comme moi que « le cœur a ses raisons que la raison ignore »
Et toi, au fil des saisons tu changes et c’est ce qui nous fait du tort
Tes raisons je les ignore !
Mais écoute ton cœur… et tu verras que j’ai raison !
   
J’ai retiré ma carapace parce que mon cœur en pince pour toi
Et je traverse une mauvaise passe puisqu’il ne jure que par toi
T’as pris du poids dans mon esprit, moi j’en ai perdu 20 quand tu m’as pris
Ce bien si précieux qu’en vain j’essaye de reconstruire !
Le souci, j’trouve plus les mêmes ingrédients
Amis Amants et Confidents, à mon avis trop méfiant
Depuis que tu as volé mes espoirs je reste à l’écart
De tous ces gens qui me veulent peut être du bien mais suis je trop exigent ?
Et si j’en perds le gout à tout c’est que par toi mon esprit est hanté
Ma plume t’est soumise à un point que j’ai besoin de la planter
Dans mes veines pour t’écrire ce que je ressens à défaut de l’encre
C’est mon sang qui coule pour mieux tacher le papier !
Parfois je te haie, souvent au bout j’y mets la lettre M
Pour mieux te dire je t’aime malgré la peine que tu me faits tu sais
T’as beau changer comme les saisons
En ce qui me concerne, j'écoute mon coeur...
Lui seul a raison !
 
Refrain
 
Tu es restée sourde à mes appels au secours
Et à mes battements de cœur,
Si cours sont ces moments ou je ne repense pas à notre histoire
Te revoir sourire j’en ai perdu tout espoirs
Alors pouvoir te dire tout ça est pour moi un exutoire
C’est mon dernier recours, même si je sais que mon discours
N’effacera pas cette discorde au mieux m’aidera à tenir le coup
Suite à cette opération que j’ai subie à cœur ouvert
Au cours de laquelle j’ai découvert que mon cœur était bien en verre !
En vérité j’étais comme tout homme qui revendique la pierre
La pire des erreurs qu’on puisse faire y croire dur comme fer
C’est bien connu, les hommes se cachent pour pleurer
Et dans mon cas c’est au pluriel que je m’évertue à réparer
Même si je le sais au fond de moi ce ne sera plus jamais pareil
Entre toi et moi, parce qu’au fond t’es plus vraiment la même
Et tu le sais… T’as bien changé comme les saisons
En ce qui me concerne, j’écoute mon cœur
Lui seul a raison !
 
Refrain
 
Il m’a fallu pas mal de temps tu sais…
Parce qu’il ne suffit pas de se dire que c’est juste une page pour pouvoir la tourner !
Notre séparation s’est plutôt mal passée mais rassure toi
J’ai laissé le temps au temps…
Et le mal est passé !


11- Regrets

J’ai tendance à penser… que le passé sera toujours présent dans mon futur
C’est dur, mais dans la vie faut avancer
Et laisser le temps au temps pour guérir les blessures 
Il y a néanmoins  une chose dont je suis sûr…

Je regrette rien de tout ce que j’ai pu faire
Ni toutes les bouches que j’ai fait taire
Parti déficitaire, c’est vrai que Koshon, ça se passe de commentaire
Qu’on m’enterre ou on m’aide à atteindre la lumière
Les rumeurs à mon égard ne datent pas d’hier
D’ailleurs je les laisse derrière moi et je regarde droit devant
Malgré toutes mes galères, je me dis que tout ça c’est du vent
J’ai pas vendu mon âme à l’industrie ou travesti ma musique
Je m’y suis investi rendant ma plume un peu plus magique !
Grand nostalgique de cette époque ou l’artistique
Avait du poids face au fric généré par l’industrie du disque
Les indices des ventes indiquent les conséquences
De l’incompétence de certains DA à prendre des risques
Mais y a aussi tellement de pseudo artistes qui émergent
Des DJ si sélectifs qui mettent certains vrais en marge
Y en a marre de tous ces gens qui te font perdre ton temps
Toi t’as des rêves et à les écouter c’est plutôt tentant
T’attends à rien venant des autres, ils te voleront tes espoirs
Aspire à être le meilleur, c’est toi qui fais ton histoire
Moi j’ai la mienne, déjà compliquée à gérer
On m’a fait tellement de promesses,  j’ai du mal à digérer
Mais je ne regrette rien… ma vie, j’ai su la diriger !
La preuve en est que je suis là, en juge j’ai su m’ériger !
Mitigé est mon jugement sur revendiquer la rue
Je connais pas beaucoup de Rappeurs SDF qui y ont vécu
Peu convaincu que ce soit la meilleure des choses
A faire pour nos petits frères car ils écoutent nos vers
Pourquoi leur faire à l’envers !
Certains me diront « Lover » à cause de « Toi-même tu sais… »
Mais je connais mes valeurs, seuls les fiers font les malins blessés
Car devant les potes, jamais le regard faut le baisser
Imbécile sont ceux qui croient que s’ouvrir c’est s’abaisser !
Biensûr… suis-je bête, comment ais je pu ne pas y penser ?
Toutes ces choses par lesquelles je suis passé devaient rester dans mon cœur pincé !
Je ne cesse de dire que le miroir est mon ami
Alors plutôt que de lui mentir, moi je préfère lui demander son avis
C’est ma vie, pour rien au monde je ne l’échangerais
Si je formule des regrets c’est que ce texte ne dégage rien de vrai
De ma naissance à ce jour, on appelle ça le destin
Parfois en colère je jure parce que le bonheur est trop distant
Mais moi, j’ai Mic et ma plume suit mon instinct
Il est donc évident que mes écrits sortent de mes intestins
Des tests, j’en ai passé plus d’un  et tous attestent
Que ceux qui me détestent et moi sommes vraiment distinct
Distingués par nos visions de ce qu’est le monde
Certains inondent nos oreilles avec des discours immondes !
Je suis comme toi, toi ou toi avec  défauts et  qualités
A défaut d’être toi, je suis moi mais on est à égalité
Face à la vie, ce qu’elle nous donne et nous reprends
Parfois on perd le sourire mais au final on réapprend
Et après on rit… parce qu’on oubli à priori
Laissant derrière nous les débris des choses gâchées, mais tampis !
J’avance avec confiance, le monde dans le creux de ma main
J’oubli hier… et je me concentre sur demain
Sûr de moi… parce que je sais ce que je vaux
Ce que je veux et tout ce qu’il faut pour arriver à un certain niveau
Les sacrifices que j’ai fait, payent je le vois bien
C’est pour ça qu’aujourd’hui fier,
Je le dit : «  Je ne regrette rien ! »

Je regrette rien…
De tout ce que j’ai dû faire pour en arriver là, fier
Ce qui ne te tue pas te rend plus fort
Des efforts…
J’en ai fait et j’en referais encore
Pour montrer à mes détracteurs combien ils ont eu tort !

Je regrette rien…
Même pas les langues de bois
Ni tous ces gens de mauvaise foi
Qui m’ont jugé en me montrant du doigt
Je leurs doit tout, croyant m’avoir à genoux
Pour vous,  jaloux… Je suis là… et je tiens le coup !


12- Le loup (Le retour)

De retour pour ces dames, un drame pour les hommes en chien
A remuer la queue seuls à la niche, faute de moyens
Noyés dans une solitude égale à leur niveau moyen
Voyons, tout le monde sais qu’en Amour je suis un voyou !
Mon égo lui, me hisse au rang de Don Juan
Egoïstes envers mes gars quand y a des Gos, y a danger !
Et vla les dégâts, dégout dans les yeux des jaloux
Pour moi t’as le béguin Boo, naturellement je suis un Loup !
J’aime m’afficher dans les soirées H.I.P-H.O.P
Pour assouvir ma soif de Gos agitées à choper !
Une fois ma proie repérée, je déshabille du regard
Un conseil si t’es ringards, tais toi et regarde !
Viens faire un tour dans ma caverne, voir ce que je t’y réserve
Pas celle d’Ali BABA mais Mamadou le Bambou
Je serais cet animal qui manie mal la galanterie
Pour toi, ce genre de femelle qui excelle dans la gâterie !

Refrain :
Appelle moi le Loup, je t’en prie chérie
Tu sais qui je suis… Chut !
Entre toi et moi… pas de chichis
Chuchote moi à l’oreille tes désirs les plus intimes
Une fois réalisés
Je passe à la prochaine victime

Je sais que j’impressionne
De par ma classe, ne ressemble à personne
Et quand mon tél sonne, c’est qu’on m’attend à l’hôtel en sommes
J’assume mes conquêtes
Et quand une femme me guète, t’inquiète
J’assure, aucune d’elles ne regrette !
Fais pas ta Laura INGALS, surtout si t’as l’Aura d’une garce
Grâce à moi tu comprendras que ton mec n’est qu’une farce
A force de tomber …
Sur des mauvais coups t’as perdu gout à tout
Mais goute à tout Boo… la récompense est au bout !
Pas de chichis, ni tabous… En chuchotant t’avoue,
Que ce qu’il te fallait c’est un Loup
Tu pourras faire la « Barbie » baby et dire à tes coquines de copine
Que tu t’ai fais « Ken », le lendemain je t’oubli
Obéi à mes désirs pour rugir de plaisir
Passons un moment paisible, inutile de rougir
Je sais d’avance que tu vas crier Waouh…
Viens avec moi… On libérera ton Bam chicawawa

Refrain

Que t’ais des gouts chic
Genre GUCCI ou gouts de chiotte… rien ne me choque
Ce qui compte c’est que tu fasses pas de chichis…
J’aime les belles carrosseries avec de beaux pare chocs
J’aime  les vrais… (Tousse) en l’occurrence pas de toc !
Moi, je suis un pro des positions
Mais si t’as des propositions genre Kâma-Sûtra
Je ne ferais pas le canard sous les draps
Je te l’ai déjà dit… Si on m’appel Mamadou
C’est que mon engin est un chien, seules les chiennes l’amadouent !
Je suis l’ami des femmes que les maris abandonnent
Abondant est le plaisir, peu égoïste je donne
Tout ce que j’ai jusqu’au final jet
Si tu doute attend mais n’en perd pas une goute
Je suis le genre de mec qui rassasie mais ressaisie toi chérie
Je sais qu’avec moi… C’est pas easy, fallait oser
T’as tout testé mais toujours blasée
Mes potes à la Fac disaient
« Once you go black honey… You Never go back ! »


13- Le mal par le Mâle

Permettez-moi d’être cru au risque de choquer ceux qui ont cru
Que je n’étais bon qu’à être mélancolique sur instrus
Des intrus… trop parmi nous !
De ceux qui frappent leurs femmes
Aux DUTROUX accros aux minous
Ça joue les durs… Face à la gente féminine
Ça fait mine de rien… Devant un homme, devient victime
Devine qui correspond à cette description ?
Moi, j’appelle ça des lâches et… ils se reconnaitront !
Comment peux-tu lever la main sur ta mère ?
Et prétendre être un fils digne, tu l’es mais de Lucifer !
Ta maison, l’enfer ! Papa sera fier de toi
Quand t’y retourneras parce qu’ici… on veut pas de toi !
Certains militent pour « Ni putes, ni soumises » !
Mon but, faire qu’on se mobilise pour avoir une emprise
Sur  ceux comme à toi qui m’écoute
Toi qui me dégoute aucun doute
Au coupe-coupe, tu paieras coûte que coûte !
 
Refrain : (x2)
Viens… !
Apprendre le mal par le mâle
Viens… !
Après ça on verra… si tu parles mal !
 
Depuis que Marc à laissé les siennes
Tu marches sur ses pas, mais tu sais pas toi
Ce qu’on te prépare moi et mes gars
Garde bien en tête ce que tu as fait et refait
Reste sur tes gardes en retour garanti sera l’effet ! En effet…
Tu penses que t’es un dur hein ?
Alors qu’au fond…  Tu sais que t’es qu’une ordure
T’as joué avec lui te foutant de ce qu’il endurait
Mais la facture se payera  en fracture, ça je te le jure !
Une injure qu’il gardera toute sa vie
Un jour viendra ou pour sûr tu payeras pour ses blessures !
Avis…  aux amateurs de douleurs,
Vous qui aimez tant les enfants
Vous connaitrez la couleur du sang évidemment
Vos envies démentes demandent à ce qu’on mette un terme
A vos problèmes internes dans une tombe six pieds sous terre
Je m’adresse à toi  qui m’écoute
Toi qui me dégoute aucun doute
Au coupe-coupe, tu paieras coûte que coûte !

Refrain

A l’époque du collège et du lycée, t’étais une victime
J’avoue, ya de quoi prendre un sacré coup dans ton estime
Le destin t’a offert une belle femme
Qui pour toi a la flamme donc quand tu l’ouvres elle la ferme !
A la maison tu t’affirmes… comme le chef
Penses que ton attitude est fraiche
Devant tes potes la calme…
Elle sèche ses larmes…  plus tard viendra le drame
Mais… s’arme de patience, pense que tu mérites une chance
Jamais ça ne s’arrange…  ta main te démange
Saches que la mienne aussi… cette attitude me dérange !
En cas de conflit… les points sur les « i »
N’en profite pas pour les mettre sur la femme de ta vie
Ne t’avise pas de croire que tes actes resteront impunis
Au risque d’être surpris, face à face en pleine nuit !
Je m’adresse à toi  qui m’écoute…
Toi qui me dégoute aucun doute
Au coupe-coupe, tu paieras coûte que coûte !
 
Refrain


14- Mic

Mic…
Est-ce que tu m’entends ?
Ne vois tu pas d’après mon teint qu’à petit feu je m’éteins ?
Mic…
Est-ce que je perds mon temps
A essayer d’en gagner alors que mon destin m’attend ?
Mic…
Y a qu’avec toi que je me détends
Et ta présence m’empêche d’appuyer sur la détente
Mic…
Trouvons un terrain d’entente
Ton absence me tente à me laisser aller à la descente !
 
Un jour je ris, un jour je pleure
Victime de mes humeurs
Et vu l’ampleur de mes peines, j’ai du mal à ne pas être amer
En panne d’inspiration quand tu n’es pas dans les parages
J’ai peur que sous pression je commette l’irréparable
Mes dérapages sont nombreux, je les canalise sur mes pages
Pris en otage par mes démons, psychanalyse sauvage
L’âme en peine, en pleine déprime
Une lame sur les veines, une envie de crime
M’engraine à vouloir mettre un terme à cette haine
Que j’ai envers la vie, mais mes vers me lient à toi
Et c’est ce qui fait que parfois je retrouve l’envie d’être moi
Qu’est ce qui est mieux d’après toi…
Se plaindre ou feindre le bonheur ?
S’éteindre face à la douleur
Car elle nous force à vivre sans lueur d’espoir
Des histoires on en a tous vécu
Des plus dramatique et à la fin, tous vaincus !
Je ne suis pas le seul à vivre ce genre de choses
A défaut du rose,  le noir qui vient teinter l’espoir
Les ecchymoses en témoignent
On espère tous, mais on connaît la fin de l’histoire (leister)
Voués à une mort sure
Les miennes témoignent de mes blessures
J’en ai des stigmates, la vie m’a mis mat
Ça sent l’échec mais je veux me battre
J’ baisse pas les bras, tu peux me croire !
Mon cœur s’endurci… tandis que ma vie elle se raccourcie
C’est la rancœur qui prend le dessus déçu, trop souvent je le suis !
J’essuie les peines pour lesquelles à main nu j’ai combattu
Abattu mais toujours debout même si vivre me tue !
Ivre de la mélancolie qui s’empare de ma vie
Mon vœu le plus cher serait que tu sois là chaque fois que j’en ai envi !
Tu fais parti de moi, ne me demande pas de vivre sans toi
Car j’en ai pris l’habitude, sans toi j’y arriverais pas
Ce serait comme devoir faire la fête malgré le gout d’une défaite
Et de ce fait… Niet ! T’as pris trop de poids dans ma tête
Pour être honnête, je compte sur toi pour m’aider à raconter
Mes peines et celles des autres personnes que j’ai rencontrées
Maryline pour Jack et Jérémy que j’ai remis sur le chemin de l’espoir qu’il avait mis de coté
Y a ma petite sœur de cœur aussi, mon frère, Tessa et Kiki
Ainsi que tous ceux qui apprécient mes écrits contant mes récits
Grace à toi je récite mes maux avec réussite
J’ai l’impression que mon âme en perdition ressuscite !
Ce qui suscite des polémiques concernant mon état
Parce que parfois d’humeur dépressive,  trahi par mon teint
Avec des envies passagères de mettre un terme à ma vie
Vaut mieux le penser que le faire, n’es tu pas de cet avis ?
Et je suis pas seul dans ce cas, je sais qu’au monde on est des tas
Moi je t’ai toi et si c’était pas le cas… (Clic paaaa !)
Tu me donnes la force et le courage d’affronter mes démons
Certains, victimes de leurs tracas n’osent pas dire : « Aimez-moi ! »
Des familles en deuil, des cercueils autour des quels on se recueil
Merci d’être là pour moi… que serais-je sans toi et mes feuilles ?
Fait de chair et de sang
J’aime les vers et le son
Je tire des leçons des larmes que je verse
La vie, un versant
Tout ça pour dire à ceux qui souffrent des mêmes symptômes
Restez forts !
C’est vous qu’on aime… pas vos fantômes !
 
 
Mic…
Est-ce que tu m’entends ?
Ne vois tu pas d’après mon teint qu’à petit feu je m’éteins ?
Mic…
Est-ce que je perds mon temps
A essayer d’en gagner alors que mon destin m’attend ?
Mic…
Y a qu’avec toi que je me détends
Et ta présence m’empêche d’appuyer sur la détente
Mic…
Trouvons un terrain d’entente
Ton absence me tente à me laisser aller à la descente !
 
 
Mieux vaut essuyer une larme pour balayer ses peines qu’essayer une arme et en faire à ceux qui nous aiment !
 

15- Qu'est ce qu'on dit ?

REFRAIN: (chanté par mon neveu et ma nièce)
Moi, tu m’as toujours dit qu’il fallait dire Merci…
Juste un message pour tous ceux qui t’apprécient
Peut être qu’un jour grâce à eux tu feras aussi Bercy
Et puis même si tu y arrives pas,  bah faut dire Merci !
 
Ceux qui me connaissent savent
Je pardonne parfois mais je n’oublie pas
Pardonnez moi si je vous oubli
Je suis pas à l’abri d’un mauvais pas
M’en voulez pas … pour cet écart de conduite
Mais je rattrape ça de suite
Pourvu que ma mémoire ne fasse pas de fuite
Je commencerais par toi
Vivian Melloni, en matière de générosité l’une des plus belles mélodies
J’ai eu une gêne face à ce geste que t’as fait sans hésiter !
Donc je ferais en sorte que t’ais jamais à le regretter
Merci à Jean Marie KLAUI pour ce pied à la mairie
Tu m’as permis d’offrir mon sourire à la soirée des KIWANEES
A la famille OFAICHE, merci doc pour les soins
Madame chante le refrain et les enfants pour le soutien.
A Charles BOUTICOURT
Les bruits qui courent  le long de cet Album
Tu y es pour quelque choses pas besoin de long discourt
A tous les Tom-tom que j’ai croisés sur ma route
Sans GPS TOM TOM, comme j’y arrive ça les déroute !
 
REFRAIN:
 
J’en place une pour DJ Emilio et MEL-A
Je vous cite car depuis le début vous êtes là
Normal  j’oublie pas !
Stéphane KOWALSCZYK, Arno BOOSTER et Thierry PERRINI
Pérenniser cette amitié, reconnaissance à l’infini
J’ai pas fini, il en reste tant à remercier
Fabien BARETTI et Etienne comment ne pas vous citer
On trinquera à la longue vie et à la santé de cet opus
Ma présence sur FAMOOZ a forcément apporté plus !
A ceux qui sont intervenus de près ou de loin sur ce projet
Musiciens ou voix vous avez su comme des pros gérés
Mes amis sur SKY ou Myspace, soutien de taille
Donc mon respect vous l’avez sans l’ombre d’une faille
J’espérais faire un malheur en diffusant le bonheur
Si le succès est au rendez vous c’est qu’à vos montres je suis à la bonne heure
La bonne humeur  je la sème à ceux qui s’aiment et ceux qui saignent
Car peu sont ceux qui se plaignent de mes écrits
Donc merci !
 
Moi, tu m’as toujours dit qu’il fallait dire Merci…
Juste un message pour tous ceux qui t’apprécient
Peut être qu’un jour grâce à eux tu feras aussi Bercy
Et puis même si tu y arrives pas,  bah faut dire Merci !
 
C'est vrai que j'ai toujours dit qu’il fallait dire Merci…
Juste un message pour tous ceux qui m’apprécient
Peut être qu’un jour grâce à eux je ferais aussi Bercy
Et puis même si j'y arrives pas,  bah je leur dit MERCI !
 

16- Merci